
BITCOIN CONTRE LA DILUTION MONÉTAIRE : L’ALTERNATIVE QUI CHANGE TOUT
Share
Bitcoin aurait pu être différent. Il aurait pu naître sous d’autres paramètres. Mais une chose semble certaine : quelque chose de semblable aurait fini par émerger. Car les systèmes monétaires tels que nous les connaissons sont condamnés par leur propre mécanisme de dilution. Et Bitcoin, petit projet open source, s’élève contre cette logique. Il limite les moyens pour un gouvernement de vous voler discrètement. Il réduit leur pouvoir d’agir dans l’ombre, sans que vous n’en soyez conscient. Ce n’est pas une révolution brutale. C’est une érosion inverse, discrète mais implacable. Une désagrégation du pouvoir absolu. Certains hésitent à dire que Bitcoin est inévitable. Mais il est la voie la plus crédible que nous ayons pour sortir d’une époque profondément marquée par la centralisation monétaire.
Linalden, analyste respectée et rigoureuse, décrypte cette lente mais puissante ascension de Bitcoin au cœur d’un système enraciné depuis des siècles. Bitcoin n’est pas une bulle. Il est un outil. Un levier de changement qui s’étend, décennie après décennie, malgré les résistances, malgré les interdictions, malgré les doutes. Si demain, Bitcoin fait encore un x10, s’il commence à grignoter plus massivement les parts de marché des monnaies fiat, cela changera l’équilibre du monde. Car les États s’appuient sur la création monétaire pour vivre au-dessus de leurs moyens. Et ce privilège est en train de leur échapper.
Dans chaque période de crise, il arrive un moment où les peuples réalisent que leur argent perd de sa valeur. Pas à cause d’un vol visible, mais par le lent poison de la dévaluation. Vous voyez les chiffres de votre compte en banque grimper. Mais vous sentez, jour après jour, que votre pouvoir d’achat s’effondre. Les gouvernements impriment, toujours plus, pour financer des déficits toujours plus grands. La conséquence est une taxe invisible sur chaque citoyen. Selon Linalden, certains pays atteignent aujourd’hui des croissances de la masse monétaire de 20 à 30 % par an. Ce n’est pas de l’inflation. C’est une dilution pure et simple. Mondiale. Systémique.
Pendant longtemps, l’or a joué le rôle de refuge. Mais même l’or ne vous libère pas complètement. Il reste lié à des banques, à des institutions, à des intermédiaires. Bitcoin est différent. Bitcoin ne gonfle pas. Ne s’imprime pas. Ne cède pas aux décrets. Il ne joue pas selon les anciennes règles. Il les réécrit.
Linalden va plus loin. Elle nous invite à changer de perspective. Ce que beaucoup appellent « inflation », elle le nomme « dilution ». Car même lorsque vos rendements semblent positifs, si la masse monétaire augmente de 7 % par an, votre part dans l’ensemble diminue. Si la productivité progresse de 3 % mais que la masse monétaire croît deux fois plus vite, les prix ne devraient pas monter. Ils devraient baisser. Et s’ils stagnent ou montent, c’est que quelque chose cloche profondément. Le système fiat n’est pas neutre. Il vole en silence. Il vide lentement chaque poche. Il transforme chaque contrat, chaque accord entre individus, en une équation instable. Ce n’est pas seulement économique. C’est politique. C’est social. Et c’est profondément injuste.
L’inflation détruit la planification à long terme. Elle raccourcit les horizons. Elle oblige les entreprises à renégocier constamment. Elle contraint les travailleurs à vivre dans l’angoisse de demain. Elle ruine l’idée même de confiance. Linalden donne un exemple frappant : en Égypte, la masse monétaire croit de 20 à 30 % par an. Mais les salaires, eux, ne suivent pas. Les prix non plus. Et tout le monde perd. Sauf ceux qui impriment. Ceux qui sont au sommet du système.
Et là encore, Bitcoin agit en antidote. Il restaure la transparence. Il impose un cadre. Il ne peut pas être manipulé pour servir une seule des parties. Il ne peut pas modifier les contrats à votre insu. Il force les gouvernements à jouer selon des règles plus claires. Et surtout, il leur retire le privilège de diluer sans consentement.
Ce qui rend Bitcoin unique, ce n’est pas seulement sa technologie. C’est son timing. Nous vivons à une époque où les transactions sont instantanées, mais où les règlements restent lents, centralisés, bancaires. Bitcoin apporte le règlement rapide. Il matérialise un rêve ancien. Celui d’une monnaie libre, sans permission, sans frontière, sans arbitre. Il progresse, malgré les attaques. Il résiste, malgré les interdictions. Et peu à peu, il s’impose.
Car le monde fonctionne selon une logique de jeu. Si un pays adopte Bitcoin avant les autres, il attire l’innovation, les capitaux, les cerveaux. Si d’autres traînent ou s’y opposent, ils prennent du retard. C’est une compétition implicite. Et de plus en plus de pays commencent à le comprendre.
Ce n’est pas un conte de fées. Il reste des défis. Mais Bitcoin a prouvé qu’il pouvait survivre. Qu’il pouvait défier les grandes puissances. Et surtout qu’il pouvait offrir un point d’ancrage stable, prévisible, neutre. Linalden le dit avec justesse : même si l’on relançait l’histoire, même si l’on recommençait depuis zéro, quelque chose comme Bitcoin finirait toujours par apparaître. Car l’idée est trop forte. Elle répond à un besoin fondamental.
Les gouvernements existeront toujours. Mais ils perdront le contrôle total. Ils devront composer avec une population mieux informée, mieux équipée, capable de choisir sa monnaie. Et cela changera tout. Car dans ce nouveau monde, on ne peut plus financer l’État sans le dire. On ne peut plus camoufler l’impôt dans la dilution. Chaque dépense devient visible. Chaque abus devient contestable. Et cette transparence transforme le pouvoir.
Bitcoin limite les abus. Il réduit l’espace pour l’arbitraire. Il n’impose pas un modèle unique. Il permet à chaque communauté de choisir. Mais il rend la manipulation beaucoup plus difficile. C’est un filtre, un pare-feu, une barrière contre l’abus systémique.
Ce que nous apprend l’analyse de Linalden, c’est que l’inflation n’est pas un phénomène technique. C’est une mécanique de domination. Elle affaiblit les entreprises. Elle écrase les travailleurs. Elle pénalise les plus prudents. Elle pousse les citoyens vers la dépendance. Et dans ce contexte, Bitcoin apparaît non pas comme un pari, mais comme une nécessité.
Aujourd’hui, avec une capitalisation dépassant les 2000 milliards de dollars, Bitcoin n’est plus un espoir abstrait. C’est une réalité. Une alternative qui fonctionne. Une base sur laquelle reconstruire une économie plus juste. Une monnaie qui refuse de tricher. Et si elle continue de croître, si elle atteint 5 ou 10 % de la masse monétaire mondiale, le jeu changera complètement. Les États devront s’adapter. Les banques devront évoluer. Et les citoyens, enfin, pourront choisir.
La question n’est plus de savoir si Bitcoin est viable. Il l’est. La vraie question est de savoir si nous sommes prêts à abandonner les illusions du système actuel pour saisir cette chance. Parce qu’elle ne se représentera peut-être pas.
Bitcoin, c’est maintenant ou jamais.
👉 À lire aussi :
- L’homme qui a jeté 742 millions à la poubelle
- Le jour où Bitcoin a tout changé
- Tu ne possèdes pas Bitcoin. C’est lui qui te possède.