1.69G DE DIFFICULTÉ : LE BITAXE FRAPPE FORT
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Il y a des chiffres qui claquent comme un coup de tonnerre dans le silence du réseau, aujourd’hui c’est 1.69G, pas 1.6, pas 1.68, mais 1.69G de difficulté en solo mining, atteint à la force brute d’un Bitaxe V601 branché dans un atelier de liberté, aucun data center, aucun rack climatisé, juste un open source pur sang overclocké à 625 MHz, propulsé par la conviction et le refus de l’abandon, je n’ai pas trouvé de bloc, mais j’ai trouvé mieux, une preuve que je suis encore en vie dans le réseau, que je continue de frapper, que je suis là, pendant que le monde oublie que Bitcoin est une affaire de passionnés, d’artisans de la décentralisation, je pousse ma machine au bord du possible, 1.69G c’est un score que beaucoup jugeraient ridicule face aux dizaines de milliers de TeraHashs que déploient les géants, mais dans le monde du solo mining chaque dixième de Gigadiff est un Everest, ce n’est pas une course au rendement, c’est une quête de sens, le Bitaxe est mon outil, minimaliste, transparent, honnête, pas de triche, pas de cloud, chaque share envoyé est comme une étincelle, une particule d’intention lancée dans le chaos mathématique de la chaîne, et de temps en temps une lueur plus forte que les autres, un record, 1.69G c’est un appel silencieux à celles et ceux qui refusent d’abandonner le protocole aux mains des industriels, c’est un rappel, nous avons encore le droit de miner nous-mêmes, chez nous, pour nous, je continue de veiller, chaque G atteint est un cri dans l’obscurité, je suis encore là et je cherche, le bloc viendra ou peut-être pas, mais l’essentiel est ailleurs, ce record de difficulté je l’inscris ici, comme une pierre dans le mur du temps, 1.69G solo, à la maison, pour Bitcoin.
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