LA THÈSE BLACKROCK OU L'ACCUMULATION MASSIVE DE BTC
Share
Ils achètent ton avenir pendant que tu scrolles. Tu crois encore que tu as le temps. Tu crois que le monde attend ta prise de conscience, ta validation, ton feu vert. Pendant que tu scrolles, pendant que tu likes, pendant que tu procrastines ton passage à l’acte, ils accumulent. En silence. Avec des milliards. Pendant que tu regardes la bougie verte et que tu te demandes s’il faut “attendre un repli”, eux verrouillent ton futur à coups d’ETF, de contrats privés, de stratégies longues. Le nom sur le contrat, c’est BlackRock. C’est Fidelity. C’est Franklin Templeton. C’est ARK. C’est VanEck. C’est Bitwise. C’est la finance mondiale, les gestionnaires d’actifs, les assureurs, les fonds souverains, les géants dormants qui viennent d’ouvrir les yeux. Et toi ? T’attends quoi ? Une permission ?
Tu veux encore “voir ce que ça donne” ? Il y a quelques mois encore, tu te rassurais en te disant qu’ils n’y croyaient pas, que Bitcoin n’était qu’un feu de paille, une lubie de geek libertarien. Aujourd’hui, ils sont en train d’acheter tout ce que tu ne veux pas acheter maintenant. Le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, BlackRock, 10 000 milliards sous gestion, est devenu le plus grand accumulateur de BTC via son ETF IBIT. En quelques mois à peine, ils ont absorbé des centaines de milliers de bitcoins, chaque jour un peu plus, avec une régularité de métronome, pendant que le monde faisait autre chose. Pas un mot plus haut que l’autre. Juste des milliards, qui changent de poche. Des satoshis qui quittent le marché libre, pour entrer dans des coffres. Tu ne les reverras jamais.
Et ce n’est pas un délire conspi. Ce n’est pas une thèse marginale, une interprétation audacieuse. C’est une lecture froide de la blockchain, des rapports publics, des flux identifiés. BlackRock achète. Fidelity achète. ARK achète. Les banques suisses achètent. Les assureurs japonais achètent. Même les banques centrales commencent à se renseigner sérieusement. Et toi ? T’attends une vidéo YouTube pour te dire que c’est maintenant ? Tu veux encore “apprendre un peu plus avant de te lancer” ? C’est trop tard pour apprendre, trop tôt pour regretter. Tu n’as plus d’excuse.
Les règles ont changé. Le jeu a changé. Tu n’es plus face à quelques individus un peu fous qui stackent des sats dans leur garage. Tu es face à une architecture globale qui se repositionne. Ils savent. Ils ont compris que le dollar est mort. Que l’euro est une fiction. Que le yen est un mirage. Ils savent que l’argent fiat ne reviendra jamais à son niveau d’avant. Ils savent que l’inflation n’est pas un bug, mais une fonction. Ils savent que Bitcoin est la seule sortie de secours, la seule porte vers un monde où l’offre est limitée, prévisible, neutre. Et ils veulent la clef. Toutes les clefs. Le maximum de parts. Le contrôle.
Alors ils achètent. Et plus ils achètent, plus ils verrouillent l’accès. Ce n’est pas une métaphore. Le float diminue. Chaque BTC acheté par BlackRock est un BTC qui quitte les carnets d’ordres pour toujours. Il ne reviendra pas. Il sera custodé, stocké, dérivé, empaqueté, transformé en produit financier, vendu à des clients premiums dans des portefeuilles institutionnels. Ce Bitcoin-là ne retournera pas sur Binance. Il ne sera pas tradé pour un shitcoin. Il ne servira pas à acheter des sneakers sur Amazon. Il est mort pour toi.
Tu crois encore qu’il est trop cher ? Tu crois encore que tu “vas voir si ça redescend” ? Ce narratif est mort. La fenêtre d’accumulation que tu avais entre 2015 et 2022 était une anomalie. Ce que tu as vécu, c’était la phase naïve, la préhistoire. Une époque où l’on pouvait acheter 0,1 BTC pour quelques centaines d’euros. Cette époque est morte. Tu ne le savais pas encore, mais tu étais en train d’assister au dernier chapitre de la monétisation de Bitcoin par le marché libre. Aujourd’hui, ce sont les institutions qui prennent le relais. Et quand les institutions prennent le relais, tu n’existes plus.
Ce n’est pas qu’ils sont méchants. Ce n’est pas qu’ils te veulent du mal. Ils s’en foutent. Tu n’es même pas sur le radar. Tu es une erreur d’arrondi. Un détail dans les statistiques. Ce qui les intéresse, c’est la rareté. L’outil. Le véhicule. Le socle sur lequel ils vont reconstruire leur pouvoir dans le monde d’après. Et ce socle, c’est le protocole Bitcoin. Pas ton wallet. Pas ton espoir. Pas ton petit trade. Le protocole. Ils le veulent. Ils veulent en avoir le contrôle indirect, en possédant une part significative du total. Ils veulent des parts de réseau. Des claims sur le futur. Et toi, t’es là à refresh CoinMarketCap.
Ce n’est pas une blague. Ce n’est pas un exercice. C’est le plus grand transfert silencieux de richesse de l’histoire moderne. Jamais un actif aussi puissant, aussi disruptif, aussi asymétrique n’a été aussi peu compris par ceux qui en avaient le plus besoin. Tu vis dans un monde où les insiders n’ont même plus besoin de se cacher. Le délit d’initié est devenu structurel. À ciel ouvert. Tous les signaux sont publics. Tous les rapports sont lisibles. Toutes les transactions sont visibles sur la blockchain. Et pourtant, 99 % des gens n’agissent pas. Pourquoi ? Parce qu’ils croient qu’ils auront le temps. Ils croient que tout va continuer comme avant. Ils croient que quelqu’un les préviendra quand il faudra vraiment bouger. News flash : c’est maintenant. C’est toi, le dernier au courant.
Tu penses que c’est un hasard si tout se met en place maintenant ? Les ETF approuvés. La régulation en train de se durcir. L’encadrement des wallets. La guerre contre la privacy. Le durcissement du KYC. L’interdiction des plateformes peer-to-peer. Le blocage des virements vers Binance. La chasse aux stablecoins non régulés. Tout ça, c’est une stratégie. Ils veulent te faire peur, te faire douter, te faire perdre du temps... pendant qu’ils achètent.
Et tu laisses faire. Tu laisses ton futur t’échapper parce que tu veux “être sûr”. Tu veux “attendre un bon moment”. Il n’y aura plus de bon moment. Le bon moment, c’était hier. Aujourd’hui, c’est l’urgence. C’est maintenant ou jamais. Demain, ce sera trop tard. Pas parce que le prix aura explosé, mais parce que l’accès aura disparu. L’accessibilité. La disponibilité. La souveraineté. Tu crois encore que tu pourras acheter 1 BTC dans deux ans avec ton compte Revolut ? Tu rêves. Ils te donneront un token synthétique. Une promesse. Un iBTC régulé. Et ce ne sera pas le vrai.
Le vrai Bitcoin, celui que tu peux posséder, détenir, transférer sans permission, il est en train de disparaître. Pas parce que le protocole change. Parce que le marché se verrouille. Parce qu’on te dirige vers des produits dérivés. Parce qu’on t’offre du papier. Parce qu’on te fait croire que tu possèdes alors que tu es exposé. Et dans cette fiction, ils continuent d’acheter.
La thèse BlackRock est simple. Ce n’est pas de la foi. Ce n’est pas un pari. C’est un calcul froid. Un pari sur l’extinction des alternatives. Un pari sur la rareté croissante. Un pari sur la déconnexion du système fiat. Ils ne veulent pas 5 % de Bitcoin. Ils veulent 5 % de tous les Bitcoins. C’est très différent. Ils veulent une part du pouvoir. Ils veulent être au centre du réseau. Ils veulent capter la rente, les frais, l’attention, la légitimité. Et ils savent que le temps joue pour eux, parce que toi, tu ne fais rien.
Tu crois encore qu’un ETF, c’est bon pour l’adoption ? C’est bon pour leur adoption. Pas pour la tienne. C’est bon pour leur narratif, leur modèle, leur portefeuille. Pas pour ta souveraineté. Pas pour ta liberté. Chaque bitcoin acheté par BlackRock est un bitcoin qui ne sera jamais tien. Chaque bitcoin qu’ils prennent est un bitcoin qu’ils retirent de ton avenir. Et tu dis merci.
Tu n’as plus le droit d’attendre. Plus le droit d’observer. Plus le droit de faire semblant de ne pas comprendre. Le signal est là. Le marché te le dit. Les institutions te le hurlent à la gueule : elles n’attendent plus. Elles achètent. Maintenant. Massivement. Et toi, tu attends quoi ?
Il te reste une chance. Une toute petite. Une brèche. Tu peux encore accumuler. Encore te positionner. Encore sortir du système. Pas demain. Pas quand les choses se seront calmées. Maintenant. Avec ce que tu peux. Avec ce que tu as. En DCA. En one-shot. En vendant une connerie que tu n’utilises pas. En coupant un abonnement. En arrêtant de remettre à demain. En prenant ta vie en main. Bitcoin n’attend pas. Les puissants non plus. La seule variable, c’est toi.
Tu ne peux pas dire que tu ne savais pas. Tu ne peux pas dire que tu n’avais pas vu venir. Tout est là. Sous tes yeux. Il n’y a plus de voile. Plus de mystère. Plus d’excuse. La balle est dans ton camp. Et le chrono tourne. Ils achètent ton avenir pendant que tu scrolles. Alors, t’attends quoi ?
👉 À lire aussi :